De retour aux Etats Unis, Medea Benjamin se consacre d’abord au commerce équitable au sein de Global Exchange, une organisation fondée avec son deuxième mari, Kevin Danaher. Elle se bat contre les usines à sueur, s’attaque aux plus grands, Nike, Gap ou Starbucks et remporte plusieurs belles batailles. En 2002, Global Exchange réussit à faire payer 20millions de dollars aux distributeurs américains qui exploitent les travailleurs des îles Mariannes..
Je remets une pièce dans le jukebox!Comment cela a t’il pu arriver? Avec le monopole qu’avait cette fédération, comment ont il pu se faire bouffer jusqu’à la dernière miette de gâteau sans même réagir?Les fédérations sportives, c’est l’affaire de passionnés, de bénévoles, qui consacrent bcp de temps personnel pour faire vivre le sport dont ils s’occupent?Monsieur Yves BLANC, vous bougez peut être beaucoup, vous agitez peut être beaucoup les bras, mais ça ne fait que brasser de l’air, c’est tout.OUVREZ LES YEUX!!Vous êtes toujours président, oh M. Le président, mais président de quoi?Marre des critiques? Claquez la porte! Quite à ce que la CRK soit sans tête, pendant un temps.Il faut du sang jeune, qui n’est plus de rancur face à l’UFOLEP, qui n’a pas un EGO surdimensionné.L’Ufolep, fédération outsider a maintenant le monopole, et je pense que le mieux pour notre sport, est une coexistence des 2 fédérations, comme en motocross avec l’UFOLEP en régio, et la FFM en natio.Force est de constater qu’en UFOLEP, le niveau monte mais on y va pas pour jouer sa vie, donc le budget de la saison peut rester raisonnable pour s’amuser. Le coté , est que comme c’est moins prise de tête, c’est moins rigoureux pour l’application du règlement, avec le risque d’une non équité sportive.En FFSA, le règlement est strict, c’est bien, mais c’est la course à l’armement avec la lutte des budgets.
(). Je comprends que cette expression puisse émouvoir aujourd’hui., a déclaré mercredi Thierry Henault, président de la société Nutrimaine laquelle avait racheté Banania au conglomérat anglo néerlandais Unilever, en 2003. Pour le collectif, qui dénonçait alors un slogan contraire à l’ordre public en raison de son caractère raciste et de nature à porter atteinte à la dignité humaine, cet abandon de la formule représente une victoire: Nous avions ce slogan dans le collimateur depuis un moment.
Tout le monde joue le jeu, car le tampon Sélectionné par Dover Street Market est devenu un label qualitatif à fort pouvoir commercial. Etre vendu aux côtés d’autres designers avant gardistes donne une forme de validation. Par ailleurs, beaucoup de boutiques s’inspirent des sélections de Dover Street Market, assure Grace Wales Bonner, Prix LVMH 2016, dont la marque du même nom sera distribuée à partir de cet automne.